Dans la famille du cloud computing, je demande le cloud privé ! Selon une étude du cabinet Forrester « Adoption Profile : Private Cloud in Europe », c’est en effet ce type de cloud computing qui a vu son niveau d’adoption évoluer le plus rapidement, passant, entre 2012 à 2013, de 25% à 43% d’utilisateurs au sein des sociétés européennes !
Un raz-de-marée qui n’est pas prêt de s’arrêter : on vous en dit plus dans la suite de l’article.
Le cloud computing, consistant en la virtualisation des données (privées ou de l’entreprise) n’a de cesse d’intéresser le public.
Après les early adopters, ce sont maintenant l’ensemble des sociétés, qui utilisent ou souhaitent utiliser prochainement ce type de service, permettant de rendre accessible données et logiciels à tous ses collaborateurs, avec une vraie souplesse et une réduction des coûts : on parle alors d’hébergement en mode SaaS, pour Software as a Service.
Quelle est la différence entre cloud computing privé et cloud computing public ?
Le cloud computing privé utilise un serveur totalement dédié à votre entreprise pour vos données et vos plateformes, dans un souci de sécurité totale.
En outre, vous profitez de services créés pour votre société donc en totale adéquation avec vos besoins. Le cloud public, lui, utilisera une multitude de serveurs sur lesquels vous n’aurez pas nécessairement une visibilité, ainsi que des logiciels utilisés par d’autres sociétés.
Ce type de cloud est donc logiquement moins couteux et plus rapide à mettre en place.
Selon l’étude du cabinet Forrester, l’engouement pour le cloud privé est tel que 73% des entreprises européennes interrogées souhaitent se tourner vers ce type de cloud computing en 2014. A noter que l’adoption est légèrement plus faible en France (31%) contrairement aux entreprises anglaises par exemple (48% d’adoption du cloud privé dans leurs projets IT).
