Nacelles élévatrices, utilisation plates-formes élévatrices, cadre réglementaire travail en hauteur
Il n’existe pas de définition précise pour le travail en hauteur, cependant toutes les situations de travail qui se déroulent sur des emplacements en hauteur comme une toiture ou une passerelle et qui nécessitent l’achat ou la location de nacelle élévatrice ou de nacelle araignée, sont qualifiées de travaux en hauteur. Bien qu’il n’existe pas encore à ce jour d’énonciation précise pour le travail en hauteur, il y a tout de même un cadre réglementaire et un ensemble de dispositions législatives encadrant l’activité du fait que le risque de chute soit important pour les ouvriers réalisant des travaux en hauteur. Ainsi les lois concernant l’utilisation des équipements pour le travail en hauteur, la conception et l’aménagement des lieux de travail ainsi que d’autres prérogatives, sont encadrées par le code du travail.
Tout d’abord le code du travail interdit aux employeurs d’embaucher des travailleurs âgés de moins de 18 ans pour des travaux sur nacelles élévatrices, échafaudages volants, échelles suspendues ou sur toute autre plates-formes élévatrices. Il existe cependant des dérogations pour les apprentis et les étudiants (Article D4153-48).
Toujours par mesure de protection, les travaux en hauteur ne se réalisent qu’avec des outils bien précis, à savoir des plates-formes de travail et des passerelles dont les spécificités sont définies dans le code du travail avec les articles R. 4534-74 à R. 4534-84.
Concernant le lieu de travail, l’employeur est tenu de déceler tous les risques de chute durant l’évaluation des risques. Enfin les dispositions du code du travail concernant les lieux du travail en hauteur concernent :
- les passerelles et plateformes en surélévation.
- les trappes, les puits et ouvertures de descente.
- les toitures en matériaux fragiles.
- les ouvrants en élévations.
Pour plus d’informations sur l’utilisation des plates-formes élévatrices, rendez-vous sur : www.huet-location.fr
Enregistrer